L’histoire s’appelle Hakim le voyageur perdu du désert

Le soleil brûlait le sable, et Hakim, perdu dans le désert, n’avait plus d’eau. Le vent sifflait dans ses oreilles, un chant funèbre. Il se sentait faible, la soif le rongeait. Il avait quitté son village il y a des semaines, à la recherche d’une légende, d’un oasis caché, et maintenant, il regrettait son audace.

Que va-t-il arriver à Hakim ?

Le soleil brûlant du désert se couche sur Hakim, l’épuisement l’envahit. Ses provisions sont épuisées, son eau est à sec. Il se rappelle les mots de son grand-père : “Le désert ne pardonne pas”. Une ombre se dessine à l’horizon. Un mirage ? Un sauveur ? Il se traîne vers l’ombre, espérant trouver un peu de réconfort.

Est-ce un mirage ?

Le soleil brûlant déforme l’horizon, et les dunes de sable semblent onduler comme des vagues dans un océan de chaleur. Les yeux de Hakim se ferment, et il se demande si ce qui l’entoure est réel ou une illusion. Le désert a toujours été un endroit de mystère et de tromperie.

Y a-t-il vraiment une oasis ?

La chaleur du désert est implacable, et Hakim se sent de plus en plus faible. Le mirage, avec sa promesse d’eau et de verdure, devient de plus en plus réel, mais aussi de plus en plus tentant. Il sait que les mirages sont des illusions, mais l’espoir l’attire comme un aimant. Il se traîne vers l’horizon, se demandant si l’oasis est une illusion ou une réalité.

Que va-t-il arriver à Hakim ?

Hakim, épuisé et désespéré, se laisse tomber sur le sable brûlant. Le soleil, un disque de feu implacable, le frappe de plein fouet. Il n’a plus d’eau, plus de nourriture, plus d’espoir. Son voyage à travers le désert s’est transformé en un cauchemar.

Va-t-il trouver de l’aide ?

La chaleur du soleil est implacable, et Hakim est faible. Il se rend compte qu’il n’a plus beaucoup de temps. Il se lève, titubant, et cherche un signe de vie, un quelconque signe d’espoir.

Il va être sauvé par un groupe de nomades.

Hakim est faible et désespéré.

Le soleil brûlant le martèle, sa soif est insupportable. Il se rappelle sa mère, ses paroles : “Le désert est un maître cruel, Hakim, il ne pardonne pas la faiblesse.” Il se sent si petit face à l’immensité du sable, si vulnérable. Son corps est une épave, son esprit se noie dans le désespoir.